Rosario Dawson

Merci Oliver Stone. Grâce à vous, grâce au fiévreux Alexandre, l’humanité a la chance, que dis-je, le privilège et l’honneur, de découvrir la nouvelle merveille du monde: l’opulente poitrine de Rosie. Plus qu’une simple paire de nibards, les seins de la panthère révélée par Kids, sont les mamelles de l’univers, deux pis lourds et chaleureux aux tétons pointés vers le ciel comme pour défier les lois de la gravité. Oh Rosario Dawson!

Tu es la condition sine qua non

...de ma raison. Parler uniquement des atouts plantureux de la belle serait injuste. Regard de braise, fessier rebondi, large sourire: pas de doute, Rosie est une bombe, une vraie. Capable de provoquer une émeute à chaque déhanchement, de faire hurler de désir tous les mâles de la planète tel le loup de Tex Avery. Malheureusement, posséder un tel physique avantageux, un tel présent des dieux comporte quelques désavantages. Malgré une belle carte de visite – dans sa filmographie on retrouve deux fois Spike Lee, deux fois Edward Burns, Oliver Stone ou encore Quentin Tarantino -, elle doit souvent se contenter d’être la jolie potiche à gros seins de service comme dans Pluto Nash ou Men in Black II. Sur le plan artistique, tout avait pourtant si bien commencé. Alors jeune adolescente aux origines ethniques métissées (cubaine, porto-ricaine, irlandaise et indienne, le quarté gagnant), la belle et farouche panthère est repérée dans les rues new-yorkaises par l’œil expert de Larry Clark. Le photographe lui confie un joli second rôle dans Kids, son premier film, celui de la meilleure amie de l’héroïne interprétée par Chloë Sévigny. Elle se prend immédiatement au jeu et décide de quitter ses études pour suivre des cours de comédie, tout en prêtant son image à différentes campagnes de publicité. Sa carrière tarde maintenant à prendre son envol mais déjà les geeks reconnaissent sa silhouette atomique. Et pour cause, après avoir donné la réplique à The Rock dans Bienvenue dans la jungle, et surtout Sin City, l’adaptation de la BD culte de Frank Miller, elle jouait de la voix dans Rent, l'adaptation d'une comédie musicale à succès. Pas un grand succès au box-office mais une vraie plus-value dans le métier. Simple et funky, la bombe a préféré revenir à ses premiers amours, la culture Geek en incarnant deux sex-symbols dans Clerks 2 et Le Boulevard de la mort.