Megan Fox

Megan Fox
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Actrice
États-Unis

A carrosserie, carrosserie et demi. Si cette année, les robots de Transformers 2 risquent encore de devenir les plus grosses stars de l’été, nul doute qu’il auront du fil à retordre quant à leurs répondants humains, notamment avec l’héroïne féminine. Car si on est sûr d’être scotché à son fauteuil, il y a fort à parier que ce ne sera pas que pour l’éprouvante masse d’action du film, mais tout autant par les courbes hallucinantes et le regard de feu de Megan Fox.

FOXY LADY

Michael Bay a plutôt "l’œil du tigre" quand il s’agit d’équiper ses films de présence féminine. Entre la Tea Leoni de Bad Boys, la Liv Tyler d’Armageddon ou la Scarlett Johansson de The Island (pour ne parler que des plus connues), l’homme a toujours eu le nez creux pour mettre en valeur les rôles féminins contrecarrant la surdose de testostérone qui traverse ses films. Et ce n’est pas avec sa saga Transformers que la donne va changer. Car on ne connaît que trop le public type de ce genre de films. Et si on l’appâte par le côté technique époustouflant et "jamais vu", on finit de le faire mordre à l’hameçon avec quelques plans bien sentis sur les formes généreuses de ses actrices. Il n'y a qu'a voir Miss Megan soulever, toute transpirante, un capot de voiture ou caresser, la croupe galbée, le guidon d'une bécane pour s'en apercevoir. D’ailleurs, il y fort à parier qu’elle seule fera l’unanimité dans le film, comme étant le meilleur effet spécial du film. Oui parce que Mlle est typiquement ce genre de fille more than meets the eyes complètement improbable capable de provoquer un accident de voiture à un carrefour alors qu’elle ne fait qu’emprunter le passage piéton. Car, malgré son jeune âge, cette native de 1986 sait déjà parfaitement comment exciter les pulsions masculines d’un simple regard de braise. Et si par malheur, on arrive à détacher nos yeux des siens, si captivants et envoûtants, ce sera pour aller chercher plus bas ce qui nous affole tous. Et là, le drame risque d’arriver. Prions juste pour ne pas en arriver là. Quoique.

par Christophe Chenallet

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