Devon Aoki

Devon Aoki
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Actrice
Japon

Nichée sur les toits du quartier, il existe un ange gardien félin et sexy, protectrice de ces marchandes de plaisirs: Miho. Tueuse glaciale mais terriblement hot pour les plus bizarres d’entre nous, il fallait vraiment une comédienne aux yeux d’acier capable d’abattre un homme d’un simple regard pour interpréter un tel rôle. La encore nouvelle sur les écrans Devon Aoki semblait logiquement s’imposer.

ELLE A LES YEUX REVOLVER

Qu’est ce qui fait fantasmer un homme? Réponse: les femmes! (ou les hommes, c’est selon). Ensuite ces fantasmes peuvent être agrémentés d’un ensemble de décors prompts à alimenter la machine à rêves qu’est notre cerveau. C’est presque même pour cela que la miss Aoki semble évoluer, dans sa pourtant encore maigre carrière ciné, vers des rôles possédant tous les atouts pour interpréter ces rôles de femmes désirées. Jouant désormais autant sur les fronts masculins avec le ciné et depuis bien longtemps sur celui du féminin avec les nombreuses photos et autres couvertures de magazines féminins, Devon (non, pas la célèbre actrice porno) progresse donc gracieusement au volant d’un bolide, ou le cul posé sur son capot au milieu d’une meute de mâles faisant vrombir leur moteur comme un code d’affirmation sexuelle. Elle passe aussi par le port du costume court et sexy d’écolière espionne, apparence parfaite pour écarter les cuisses et dévoiler une culotte blanche (le Japon, dont elle tire ses origines, s’en souviendra longtemps). Hier, elle etait Miho, princesse guerrière cachée derrière ce visage de poupée de porcelaine, sorte de garde du corps d’une élite de prostituées, katanas et étoiles svastika en fer de lance. Défenseuse du sexe, amatrice de sang, ce sont ses petits seins pointés vers l’avant, ses fesses, son ventre plat et son regard glacial qui affronteront la pire racaille de Sin City. Aujourd'hui elle taille en pièces quelques hommes venus lui chercher querelle dans le sexy Dead or alive ou les petites tenues semble être de rigueur. Et si vous ne trouvez pas votre compte dans son visage froid, mais cachant un corps sûrement en demande de chaleur, et dans ses rôles bien stéréotypés, un conseil, fermez les yeux et repassez-vous mentalement le désormais célèbre clip d’Eric Prydz Call on me en appliquant le visage de Devon sur les danseuses, et on peut être sûr qu’elle finira par faire l’unanimité sur son potentiel culcultable.

par Christophe Chenallet

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