Lady Blood

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15 ans après avoir accouché d'un monstre sanguinaire, Yanka a refait sa vie. Mariée à Paul, le médecin psychiatre qui l'a guérie de ses névroses, elle est l'heureuse maman d'une charmante petite fille, Clara. Désormais, on l'appelle "Capitaine Mansotti", car Yanka est devenue fonctionnaire de police au SRPJ. Mais une série de meurtres inexplicables va la confronter à nouveau à son passé sanglant. Des corps mutilés, liquéfiés, méconnaissables sont retrouvés aux quatre coins de la ville. Quel est l'auteur de ces meurtres atroces ? Pourquoi des indices troublants laissent à penser que l'assassin se rapproche de Yanka ? Pourquoi tous les indices convergent vers elle ? D'où viennent ces voix qui l'obsèdent, ces images qui l'assaillent ? Une seule chose est sûre. Ni son collègue Romain, ni sa famille, ni ses amis, ni même la police ne peut neutraliser cette menace qui s'approche. Le cauchemar recommence. Car s'il est revenu et la cherche, c'est qu'il a décidé de se reproduire.

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LADYSGRACE

Sorte de suite invraisemblable, totalement dispensable et surtout complètement inattendue de Baby Blood, film imparfait d'Alain Roback surtout reconnu pour sa tentative improbable de mixer gore exacerbé et humour cartoonesque dans un cinéma hexagonal à peine rentré dans les années 90, Lady Blood est ce que l'on appelle communément un nanar intersidéral. Intégralement joué avec les pieds, entièrement shooté avec les coudes, écrit avec des moufles et qu'une image vidéo dégueulasse finit d'enterrer, le premier long de Jean-Marc Vincent pourrait être pris pour l'œuvre d'un étudiant non inspiré qui a voulu jouer dans la cour des grands sans avoir fait ses classes tant le film, dans son premier degré de non-circonstance, est un palais de faux raccords au royaume d'une réalisation approximative limite gerbante, le tout au service d'un script foutraque, incompréhensible, rempli de tiroirs qui ne servent à rien et comprenant encore moins de suspense qu'un épisode de Plus belle la vie (c'est dire le niveau). Et la bestiole dans tout ça? Parce qu'avec de tels arguments de vente on pourrait au moins espérer assister à quelques effets grotesques bien sentis. Que dalle. C'est juste une bébête, et encore le manque flagrant de moyens la limite à une langue gluante, qui passe de corps en corps en se sentant obligé de revêtir la défroque du mia (jogging, casquette de papi et lunettes noires) pour passer inaperçue. On en rit encore. Du coup, on est presque content qu'il s'agisse d'une simple sortie technique tant le film finira directement aux oubliettes sans trop faire de mal au genre déjà pas bien en forme dans notre frileuse production.

par Christophe Chenallet

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