En quarantaine

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En quarantaine
Quarantine
États-Unis, 2008
De John Erick Dowdle
Scénario : Drew Dowdle, John Erick Dowdle
Avec : Jennifer Carpenter, Greg Germann, Steve Harris, Jay Hernandez, Columbus Short
Photo : Ken Seng
Durée : 1h26
Note FilmDeCulte : **----
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La journaliste Angela Vidal et son cameraman suivent une équipe de pompiers à Los ANgeles. Au milieu de la nuit, un appel les conduits dans un immeuble où ils découvrent une vieille femme couverte de sang. Quand un homme s'approche pour l'aider, elle attaque...à coups de dents.

En quarantaine - VOenvoyé par _Caprice_

[REC]ALE

Alors voilà, c'est l'histoire de gentils producteurs américains opportunistes qui ont été conquis par le succès d'un petit film d'horreur espagnol surgi de nulle part et qui ont décidé de le refaire pour leur public à eux, sans en changer la moindre virgule ou presque. Du coup, ceux qui ont vu l'énormissime [REC] n'auront rien à faire de ce film, et ceux qui pourraient découvrir cette histoire avec ce remake inutile auront sous les yeux un produit sans saveur et lissé qui oublie l'essentiel: faire peur! Même pas un exercice de style à la Psycho dont Gus Van Sant s’était rendu coupable, En quarantaine devient très vite vain, n’apportant aucune valeur ajoutée et se contente de recracher son modèle en y apportant quelques menus détails plus gore, histoire de faire croire à leur public de benêts que les ricains restent les meilleur dans l’art du frisson. Quelle utopie ! Pour couronner le tout, si le film de Balagueró et Plaza y allait de sa petite reflexion critique sur le pouvoir de l’image, cette version américanisée - comprendre plus explicative (rébarbative ?) - jamais ne le conteste (on reste dans un film produit par une major il ne faut pas l’oublier). Alors entre une libre interprétation mise au repos, un manque total d’identification à cause de personnages inexistants et ininterressants et un abrutissement total du produit original, En quarantaine remporte l’oscar du meilleur produit hollywoodien comme la bannière étoilée sait si bien nous les torcher, et se déguste logiquement comme n’importe quel film d’horreur US impersonnel et simplement destiné à la consommation rapide pour teenagers imberbes en manque de sensations fortes.

par Christophe Chenallet

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