Présenté en mai dernier à la Quinzaine des réalisateurs, le Dernier maquis de Rabah Ameur-Zaimeche est perdu dans une banlieue dont on ne perçoit que les hauts passages d'avions, au-dessus des empilements de palettes en bois, une entreprise au sein de laquelle une mosquée est ouverte. Le film lance une réflexion forte et nuancée sur les liens ici ambigus du religieux et du social, discours politique au décor rouge qui s'exprime malheureusement un peu trop sur un mode théorique, installant une distance qui amoindrit l'impact d'un film languissant.
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États-Unis, 2024
De Rose Glass
Lou, gérante solitaire d'une salle de sport, tombe éperdument amoureuse de Jackie, une ...