Lors de la conférence de presse annonçant les noms retenus pour la compétition, on s'interrogeait déjà sur la présence de Thirst, Ceci est mon sang de Park Chan Wook, dont les bandes-annonces laissaient présager un objet filmique grandiloquent, peu en adéquation avec ce que l'on attend d'une Palme d'or potentielle. Les craintes sont confirmées. En crise d'inspiration depuis le fameux Old Boy, l'enfant terrible du cinéma coréen déçoit avec cette relecture du mythe de vampire, plutôt drôle et réussie dans cette première partie, confuse et soûlante par la suite.
États-Unis, 2024
De Rose Glass
Lou, gérante solitaire d'une salle de sport, tombe éperdument amoureuse de Jackie, une ...