Publié le 14/05/2009

FESTIVAL DE CANNES 2009: Nuit d'ivresse printanière

Une déception. Après le portrait d'Une Jeunesse chinoise, Lou Ye s'attaquait à un autre tabou de la société chinoise: l'homosexualité masculine. Confus sur le plan narratif, copiant les tics de Wong Kar-waï sans en saisir la magie esthétique, l'auteur de Suzhou River échoue sur presque toute la ligne. Restent quelques belles fulgurances comme une très belle scène dans un cabaret.

par Yannick Vély

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