FESTIVAL DE CANNES 2006: Paris, je t'aime, mais ma belle-mère me saoule

Il était écrit que le projet Paris, je t'aime, serait un vrai foutoir. Après une production pour le moins chaotique, alors qu'on croyait entrevoir le bout du tunnel, voilà qu'un nouvel obstacle s'est invité sur la dernière ligne droite.
Il était écrit que le projet Paris, je t'aime, serait un vrai foutoir. Après une production pour le moins chaotique, alors qu'on croyait entrevoir le bout du tunnel, voilà qu'un nouvel obstacle s'est invité sur la dernière ligne droite. En effet, selon le quotidien danois Politiken, la productrice Claudie Ossard a décidé d’exclure du montage final les segments réalisés par le Danois Christoffer Boe et le Français Raphaël Nadjari, estimant que ces deux courts métrages enrayaient la dynamique rythmique de l'ensemble. Le film passerait donc de 20 étapes à 18 et Paris se trouverait amputé des 11ème et 15ème arrondissements. Christoffer Boe ne l'entend en tout cas pas de cette oreille, publiant une réaction virulente par voie de presse et souhaitant qu’une solution de dernière minute soit trouvée. Si l'on ne sait pas encore ce qu'en pense Nadjari, Emmanuel Benbihy, l'autre producteur du film, menace de son côté de porter l’affaire en justice. Rendez-vous est donc pris pour l'ouverture d'Un certain regard, afin de s'enquérir du final cut...
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