Denise Richards
Qui d'autre que la bombe Denise pouvait ouvrir le bal de cette rubrique? Des mensurations de rêve, un regard délicieusement pervers et surtout un manque flagrant de pudeur, Denise Richards, c'est la bimbo du cinéma actuel. La fille qui fait instantanément rugir les garçons. Les femmes la détestent: elle ne sait pas jouer la comédie paraît-il et alors? Denise Richards a d'autres arguments...
Née le 17 février 1972 à Downer Groves (Illinois), la belle commence une carrière de mannequinât. Trop petite, 1m67, elle abandonne son rêve de petite fille et prend des cours de comédie. Après des expériences télés (Loïs et Clark, Melrose Place), des séries Z, Alarme fatale, Tammy and the T-Rex, un film arty, Nowhere de Greg Araki, elle est révélée par Paul Verhoeven dans Starship Troopers. Curieusement, le pervers Paul Verhoeven ne la déshabille pas mais au contraire joue sur son sourire ultra-brite et sa candeur pour faire fondre le coeur des soldats. Et celui des spectateurs. Pour leur plus grand plaisir, Denise Richards casse son image de petite Lolita avec Sex Crimes de John McNaughton. Son rôle le plus hot, celle d'une "salope" prête à tout, avec notamment une scène de triolisme à faire pâlir un évêque. Sa carrière est définitivement lancée. Jolie cruche arriviste dans Belles à mourir, James Bond's Girl dans Le Monde ne suffit pas, elle n'hésite pas mouiller abondamment son tee-shirt, moulant of course: elle est assurément devenue une sex-symbol. On la retrouve ce mois-si en jeune fille à gros seins qui hurle dans Mortelle Saint-Valentin. Le film est nul mais elle est bonne... actrice.