Les 6 films de mai

Les 6 films de mai

Il n'y a pas que Cannes dans la vie ! En attendant les premières sorties des films sélectionnés au festival, FilmDeCulte vous propose un gros plan en critiques et bandes annonces sur les films à surveiller dans les salles ce mois-ci.

  • Les 6 films de mai
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Les Amants de Caracas de Lorenzo Vigas (4 mai)
Armando, un homme aisé d'âge mur, racole de jeunes hommes en échange d'argent. Une intimité déroutante va naître entre lui et un adolescent nommé Elder. Lion d'or surprise à la dernière Mostra, Les Amants de Caracas se révèle étonnamment émouvant. Une découverte
La critique

Krampus de Michael Dougherty (4 mai)
A l'approche de Noël, le démon ancestral Krampus est bien décidé à punir les réfractaires aux fêtes de fin d'année. Dougherty exploite efficacement ce pitch improbable et livre une belle surprise horrifique.
La critique

Red Amnesia de Wang Xiaoshuai (4 mai)
Deng, retraitée têtue, semble compenser le vide laissé par la mort de son mari par une activité de chaque instant. Sa vie est bouleversée le jour où elle commence à recevoir de mystérieux appels anonymes. Wang Xiaoshuai raconte l'héritage de la révolution culturelle chinoise au travers d'un film multi-facettes : thriller, film de fantômes et portrait d'une mamie attachiante.
La bande annonce

Court de Chaitanya Tamhane (11 mai)
Narayan Kamble, chanteur folk et contestataire, est alors arrêté en plein concert, accusé d'avoir incité un homme au suicide par l’une de ses chansons politiques et incendiaires. C'est toute l'Inde, sa société folle et ultra codée, qui est convoquée au tribunal de ce premier film tendu et singulier. Une révélation.
La bande annonce

Hana et Alice mènent l'enquête de Shunji Iwai (11 mai)
Alice, nouvelle venue au collège, et Hana, sa voisine qui vit recluse, vont mener l'enquête au sujet d'un mystère qui anime leur école. Shunji Iwai signe un film d'animation délicieux, où l'alliance de la nonchalance poétique et de la fantaisie burlesque fait merveille.
La bande annonce

La Visita de Mauricio Lopez Fernandez (11 mai)
Coya est domestique au sein d’une famille chilienne catholique et conservatrice. La mort de son mari va occasionner une visite inattendue qui va bouleverser l’ordre apparent. Ce premier long métrage pudique et déroutant est une nouvelle découverte du cinéma chilien.
La critique

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par Nicolas Bardot

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