La Loi et l'ordre

La Loi et l'ordre
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Loi et l'ordre (La)
Righteous Kill
États-Unis, 2008
De Jon Avnet
Scénario : Russell Gewirtz
Avec : Robert De Niro, Carla Gugino, Curtis "50 Cent" Jackson, John Leguizamo, Al Pacino, Donnie Wahlberg
Photo : Denis Lenoir
Musique : Edward Shearmur
Durée : 1h40
Sortie : 08/10/2008
Note FilmDeCulte : **----
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Après avoir travaillé trente ans ensemble dans la police de New York, les détectives Turk et Rooster sont prêt à tout sauf à prendre leur retraite. Peu avant leur départ, plusieurs criminels ayant échappé à la justice sont assassinés selon un mode opératoire qui rappelle celui d'un serial killer que les deux enquêteurs ont mis sous les verrous plusieurs années auparavant. Une insupportable question se pose alors : Turk et Rooster se seraient-ils trompés ? L'officier Karen Corelli s'interroge, et les détectives Perez et Riley espèrent résoudre l'affaire avant Turk et Rooster. Très vite, le lieutenant Hingis, leur chef, commence à craindre qu'un policier ne soit impliqué. C'est le début d'une enquête à haut risque.

LA LOI EST LOURDE

Un film qui se repose uniquement sur l’éventuel potentiel de son scénario et sur les deux stars qui l’habillent sans jamais chercher à se surpasser ne peut pas aller bien loin. Et c’est exactement le constat que l’on doit faire de ce La Loi et l’ordre. Car en plus de rater le côté évènementiel que la nouvelle réunion des deux monstres sacrés Pacino et De Niro aurait pu faire espérer (tout le monde n’est pas Michael Mann), on est obligés de supporter une histoire plus ou moins alambiquée, faite de tiroirs et autres fausses pistes faciles et dénuées d’intérêt, avec un final assez ridicule et couru d’avance. Pas besoin d’être sorti de la cuisse de Jupiter pour anticiper le dénouement. Du coup, entre un script qui voudrait se la jouer plus malin qu’il ne l’est réellement et un emballage qui ne bénéficie même pas du soutien d’un metteur en scène ayant un tant soit peu de personnalité (d’ailleurs, comment faire confiance à quelqu’un qui a commis un 88 minutes de très bas étage et dont le seul point d’orgue de sa carrière est une comédie dramatique réalisée il y a maintenant 18 ans : Beignet de tomates vertes ?), il ne reste pas grand chose à se mettre sous la dent. A peine un léger plaisir communicatif lorsque les deux comédiens principaux s’amusent à se renvoyer la balle tels deux enfants qui n’attendaient que ça. Et force est aussi de constater que sur les antécédents du scénariste (la promo se fait beaucoup sur son nom), sa précédente création, à savoir le Inside Man de Spike Lee, paraissait quand même moins prétentieux. Qui a dit téléfilm de luxe ?

par Christophe Chenallet

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