Après le demi-succès de L'Echange, voici la deuxième salve eastwoodienne pour 2008. A l'origine sorti 'à l'arrache' pour redorer le blason du Maître, Gran Torino, présenté partout comme son chant du cygne d'acteur pour obtenir la statuette dorée qu'il n'a jamais eu, oscille entre des relents un peu trop républicains et un oecuménisme laïc dans un numéro d'équilibrisme qui reste bancal. Western moderne ou film social et généreux sur l'incommunicabilité, l'effet de jubilation vient surtout de la performance hallucinée de papy, parfaitement savoureux dans l'ignominie totale et qui effectivement, pourrait bien lui donner le hochet ultime.
Retrouvez bientôt la critique complète sur FilmDeCulte. Gran Torino sort le 25 février en France.
États-Unis, 2024
De Rose Glass
Lou, gérante solitaire d'une salle de sport, tombe éperdument amoureuse de Jackie, une ...