La première bonne surprise du Festival de Gérardmer n'aura pas tardé avec The Burrowers, présenté en ouverture. Le film de JT Petty n'est pourtant pas exempt de défauts, principalement une narration qui connait ses errances, manque de nerf ou de fluidité, mais se rattrape grâce à un ton véritablement singulier, créant sa propre mythologie où la terre a des yeux et où les badlands semblent baigner dans un crépuscule éternel. La rencontre improbable mais réussie, visuellement splendide, entre le ton de western désabusé d'un Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford et les monstres de Mimic.
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États-Unis, 2024
De Rose Glass
Lou, gérante solitaire d'une salle de sport, tombe éperdument amoureuse de Jackie, une ...