Publié le 27/01/2009

BOY A: La critique

Dans un tribunal, la caméra s'attarde sur des pieds qui ne touchent pas le sol, gamin pressentant le verdict dans un fauteuil dont l'accoudoir semble avoir été usé par l'attente anxieuse de précédents couperets. John Crowley distille ses flashbacks non pas pour jouer sur le suspens crapoteux, plutôt sur l'empathie du spectateur envers un jeune homme attachant mais qui possède pourtant, dit-on, le visage d'un démon.

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par Nicolas Bardot

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